Le nouveau purificateur Pure Cool de Dyson offre la possibilité de respirer un air délesté de 99,95% des polluants présents dans la pièce où il est installé. Doté d’un filtre amélioré, il est aussi capable d’analyser la qualité de l’air, détecter ce qui ne va pas et y remédier automatiquement. Et, en prime, il rafraîchit la pièce en cas de forte chaleur.
Notre avis sur le Dyson Pure Cool
Dyson est apparu dans le marché du traitement de l’air en 2016 et y a apporté sa rigueur chère à James Dyson et aux ingénieurs de la marque. On peut donc accorder un total crédit aux données communiquées, et n’avoir aucun doute quant au bénéfice procuré par le Pure Cool, nouvelle version du Pure Cool Link sorti en mai 2016. Ce nouvel opus existe en deux formats, de table à 549 euros ou tour à 599 euros. Destiné à tous ceux qui vivent dans un environnement pollué, ou sont sensibles aux allergènes. Ou veulent tout simplement respirer un air plus sain.
Pourquoi on craque
Pour préserver sa santé et celle de ses proches
Pour l’efficacité des filtres Dyson
Pour le design bien pensé
La télécommande aimantée qui se « colle » au Pure Cool
Prix de lancement : A partir de 549 euros
Un rôle de purificateur
C’est avant tout son rôle et le Pure Cool le tient très bien. On estime que la pollution intérieure peut être jusque 5 fois plus élevée que celle de l’air extérieur. Dans un espace fermé, pollens, polluants, poils d’animaux, poussières, produits ménagers, odeurs de cuisine, etc.. sont autant d’agressions pour nos poumons. Avec son nouveau filtre au charbon actif Hepa, Dyson va capturer 99,95% des particules, même aussi petites que 0,1 micron. Et le tout sur une surface de 27 m2 (surface de test).
Faciles à remplacer (un témoin signale lorsque le changement est nécessaire), les nouveaux filtres ont incorporé 60% de matériaux de filtration Hepa en plus par rapport à la dernière version. Et une fois l’air purifié, il sera projeté jusque 290 litres par secondes dans la pièce.
Et la bonne idée de Dyson est d’avoir conçu deux formats, dont un de table et plus mobile, pour ainsi permettre à l’appareil de se déplacer dans les pièces à vivre.
L’esthétique discrète et élégante, avec les coloris blanc et argent, en font aussi un bel objet qui ne dépareillera pas notre intérieur.
Il détecte et analyse plusieurs paramètres
Notre nez est un capteur formidable mais on ne sait pas toujours détecter si l’air que l’on respire est sain ou au contraire chargé. Dans le Pure Cool, Dyson a intégré trois capteurs qui vont donner des indications précises quant à la qualité de l’air. Celles-ci sont visibles sur le nouvel écran LCD situé en façade du pure Cool. Le premier capteur va détecter les particules fines. Le second les COV (composants organiques volatiles tels que le benzène ou le formaldéhyde, émis par la peinture, les bougies allumées et les matériaux entrant dans la fabrication des meubles) et le dioxyde d’azote. Et le troisième va mesurer la température et le taux d’humidité de la pièce.
Deux modes sont disponibles. Le premier est en mode ambiant, qui va purifier sans ventiler. Le second, en mode ventilateur, va permettre de rafraîchir la pièce. Idéal en cas de forte chaleur. Un mode nuit est également disponible, qui va rendre encore plus silencieux l’appareil (qui l’est déjà en mode normal) et baisser l’intensité lumineuse de l’écran LCD.
Enfin, le Pure Cool est pilotable via une télécommande aimantée ou via l’appli Dyson Link. Celle-ci, outre le déclenchement de l’appareil à distance, est avant tout un formidable indicateur de données pour tout savoir, et modifier en conséquence, de la qualité de l’air de notre intérieur.